LE BAMBOU

13Mai 2015
Richard Rogers Barajas, aéroport de Madrid

RICHARD ROGERS UTILISE LA BAMBOU POUR L’AÉROPORT DE MADRID !

Prévu pour accueillir jusqu’à 70 millions de passagers par an, Barajas 4 a été inauguré en février 2006, par le Premier ministre espagnol, Jose Luis Zapatero. Ce nouveau terminal a donné un coup de neuf à un ensemble aéroportuaire ouvert en 1933. Le nouveau terminal mesure 1,2 km de long, pour une superficie de  500 000 m2 et peut accueillir 38 avions. Le satellite fait 300 000 m2 pour 26 avions. Il est dédié au vols internationaux en dehors de l’espace Shengen.

Et les lames de son plafond sont en bambou !

Richard Rogers Barajas, aéroport de Madrid

Richard Rogers
Barajas, aéroport de Madrid

Richard Rogers Barajas, aéroport de Madrid

Richard Rogers
Barajas, aéroport de Madrid

Richard Rogers Barajas, aéroport de Madrid

Richard Rogers
Barajas, aéroport de Madrid

Richard Rogers Barajas, aéroport de Madrid

Richard Rogers
Barajas, aéroport de Madrid


Source : site de l’architecte richard Rogers


 

 

13Mai 2015
www.wedowood.dk jolis design en bambou

DU DESIGN EN BAMBOU : ON VEUT TOUT !

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la série « BOOKCASE »

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parfait pour la chambre des enfants

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total look bambou

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la série « CORRELATIONS BENCHES »

Ils ont créé un univers qui nous plait beaucoup et leur démarche éco-responsable résonne bien à nos oreilles. Elle s’inscrit dans la lignée de ce que nous mettons en place chez Écoligne Bambou.
N’hésitez pas à aller visiter leur site internet : ici. Ils expliquent en détail leur démarche qualité.

Source :www.wedowood.dk


 

 

20Mar 2015
Jō 5 et 8 bamboo par Cookplay, design Ana Roquero

COOK PLAY : UNE NOUVELLE VISION DES ARTS DE LA TABLE

Cookplay est un éditeur basque d’arts de la table, représenté par une designer Espagnole extrêmement douée : Ana Roquero.

Ils conçoivent et éditent des produits qui offrent de nouvelles possibilités au monde gastronomique, inspirées par la nature et la simplicité, l’authenticité et la qualité, ces produits fonctionnels sont faits-main en Espagne.

La reconnaissance internationale a été fulgurante :

  • Nomination aux « arts de la table » de l’année / Elle deco / Milan / avril 2015
  • Prix « Les découvertes »  / Récompense du salon « Maison et Objet de Paris / septembre 2014
Jōmon mini white, design AnaRoquero

Jōmon Mini-white, design Ana Roquero

LA COLLECTION JOMON

Jomon est un ensemble de bols et des plateaux en porcelaine et en verre. Inspiré par la nature avec la volonté d’aller vers des formes pures. C’est une sorte de coquille qui peut être tenue dans la main pour manger  librement.

Dans cette collection, un élément à particulièrement capté notre attention : un ensemble de plateaux en bambou avec de légers renfoncements où les bols reposent dans un esprit épuré et japonisant.

Jomon est le résultat de la coexistence entre les plats les plus divers de cuisine internationale et les formes les plus universelles de repas, conçu par Ana Roquero en collaboration avec le chef Aitor Elizegi. « 


Le plateau multiple de bambou 510x220x9mm, sur lequel reposent douze Mini bols Jomon faits-main en Espagne.

Jō 5 et 8 bamboo par Cookplay, design Ana Roquero

Jō 5 et 8 bamboo par Cookplay, design Ana Roquero

Jō 5 et 8 bamboo par Cookplay, design Ana Roquero

Jō 5 et 8 bamboo par Cookplay, design Ana Roquero

 


Pour en savoir plus :

Source : www.cookplay.eu
Crédit photo : www.cookplay.eu


 

 

10Mar 2015
green village bali

LUXE, BAMBOU ET ARCHITECTURE : UN MÉLANGE DÉTONNANT!

Le village se situe le long des pentes en terrasses de la Rivière d’Ayung à Bali, le « Green village » est un ensemble de dix-huit maisons magnifiquement uniques, construites à la main par l’équipe d’Ibuku. Chaque maison est faite sur-mesure et vise à incarner à la perfection les forces et la polyvalence du bambou. Situé à quelques pas de l’École Verte, le « Green Village » est un bel exemple de la combinaison de l’innovation architecturale, des principes de développement durable et de l’artisanat.

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Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

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Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

Green Village Bali, Elora Hardy at Ibuku

 


Pour en savoir plus :

Source : greenvillagebali.com
Crédit photo : greenvillagebali.com
Concept : voir la vidéo


 

 

23Fév 2015

C’EST POSSIBLE, DANS LES CÉVENNES…

Chênes, séquoias, cyprès, ginkgo biloba,  magnolia géant : à la bambouzeraie d’Anduze, le bambou se fait une place parmi diverses espèces boisées, sans rien perdre de sa superbe. Vous pourrez ainsi observer des Bambous géants : les plus gros que l’on puisse trouver en Europe tempérée. Certaines tiges dépassent 20 m avec une circonférence parfois supérieure à 60 cm !

BAMBOUSERAIE, FRANCE, Anduze

Bambouseraie d’Anduze, Crédit photo : Ralf Missal

 

LA BAMBOUSERAIE

552 rue de Montsauve 
30140 Générargues – France
Tel : 04 66 61 70 47

Site : www.bambouseraie.com

Crédit photo : Ralf Missal

15Fév 2015

UN BEAU CHALLENGE : DÉVELOPPER LE DEUX-ROUES EN AFRIQUE !

Les Chinois ont beau être de plus en plus présents en Afrique, ils n’ont pas réussi à y imposer le vélo. Le deux-roues reste un moyen de locomotion peu populaire sur le continent. Deux Américains, Craig Calfee et David Ho, passionnés par l’Afrique, entendent changer cette situation, estimant que la bicyclette – peu chère, résistante, facile d’entretien, écologique – est idéale pour la région. Ils ont conçu un vélo dont le cadre est en bambou et qui sera fabriqué au Ghana, dans la région d’Ashanti où le bambou pousse en abondance.

Vélo en bambou fabriqué en Ghana.

Vélo en bambou fabriqué en Ghana.

 

LE VÉLO COMME OUTIL DE DÉVELOPPEMENT

Selon leur étude de marché, 670 000 foyers ghanéens pourraient être intéressés par ce véhicule, équipé d’un long porte-bagage pour transporter des marchandises. La fabrication de ce vélo pourrait créer de nombreux emplois, entre le ramassage du bambou, son traitement, la construction du cycle, sa commercialisation. « Ce vélo est un formidable outil de développement rural. Souvent, les paysans ne disposent d’aucun moyen de transport. Ils portent l’eau sur leur tête et se rendent à pied au marché. Les enfants parfois ne peuvent pas être scolarisés car l’école est trop éloignée », ajoute Craig Calfee. Le problème reste le coût de ce vélo.

UN PRIX ENCORE ÉLEVÉ POUR LE PUBLIC CIBLÉ.

Sa fabrication reviendrait à 47 dollars l’unité et son prix de vente a été fixé à 55 dollars. « C’est
beaucoup trop cher pour la clientèle locale », estime Ibrahim Kaju, un jeune Ghanéen chargé de promouvoir le projet. Certains se demandent aussi si ce Bamboo Bike correspond à une réelle demande au Ghana ou si c’est un fantasme d’Occidentaux pétris de bonnes intentions à l’égard de l’Afrique. Craig Calfee et David Ho, qui ont beaucoup voyagé en Afrique, s’en défendent. Un homme d’affaires ghanéen, Kwame Sarpong, s’est d’ailleurs déclaré prêt à investir dans le projet.
Vélo en bambou fabriqué en Ghana.

Vélo en bambou fabriqué au Ghana.

26Jan 2015

MLABRIS : LES DERNIERS SURVIVANTS DU PEUPLE DES BAMBOUS

Au nord de la Thaïlande et du Laos, dans les provinces de Nan et Phrae, survivent les ultimes représentants du peuple Mlabri, une centaine de personnes. Ce sont les derniers survivants de cette tribu de nomades chasseurs-cueilleurs qui pendant de longs siècles, des millénaires peut-être, ont vécu en harmonie avec la jungle.

Mlabris, le peuple des feuilles jaunes. Crédit photo : Patrick Aventurier.

Mlabris, le peuple des feuilles jaunes. Crédit photo : Patrick Aventurier.

 

Le XXe siècle leur a été fatal. Victime des conflits militaires, chassée de son habitat naturel par les exploitants forestiers, les tigres et les cultures sur brûlis, asservie par ses voisins sédentaires, la population Mlabris n’a cessé de décroître depuis quelques décennies. Parmi les minorités en voie d’extinction dans le monde, les Mlabris figurent tristement en première ligne.

Mlabris, le peuple des feuilles jaunes. Crédit photo : Patrick Aventurier.

Mlabris, le peuple des feuilles jaunes. Crédit photo : Patrick Aventurier.

 

LE PEUPLE DES FEUILLES JAUNES

Dans une dizaine d’années, « le peuple des feuilles jaunes », comme il se nomme lui-même, aura certainement totalement disparu. Sédentarisés, assimilés aux autres peuples de la région, les descendants des derniers Mlabris auront alors oublié ce qu’était autrefois leur vie contemplative en forêt.

 


Exposition du 01 Mars 2014 au 15 Novembre 2014

Bambouseraie d’Anduze,
Source : www.bambouseraie.com
Crédit photo : Patrick Aventurier


 

05Jan 2015

BAMBOU ET AÉRONAUTIQUE

Le bambou n’en est pas à sa première expérience en terme d’aéronautique. Au siècle dernier, Alberto Santos-Dumont utilisait déjà cette matière noble et résistante pour les poutres structurelles de sa célèbre « Demoiselle ». Par la suite, c’est au tour du XL-14 Maya et du XL-15 TAGAK de l’utiliser sous forme de renfort composite…

Demoiselle, Alberto Santos-Dumont.

Demoiselle, Alberto Santos-Dumont.

 

Toutes ces applications ont permis la conception d’avions plus légers et de valider la performance et la stabilité du Bambou dans le monde de l’aéronautique, tout en répondant aux contraintes sécuritaires en vigueur. Aujourd’hui, et dans le cadre d’un développement Européen, le Bambou occupe une place de choix dans nos avions modernes. Ainsi, le projet BRIGHT (Bamboo Reinforced bIocomposite with high mecHanical properTies) a été retenu pour la fabrication d’un meuble avion totalement réalisé en matériau composite, dit « sandwich », à base de bambou.

Trois entreprises seront alors chargées de mettre en œuvre ce projet d’aménagement intérieur des avions :

  • Cobratex aura pour mission d’étudier les différentes espèces de bambou dans le but de sélectionner la plus appropriée pour des applications aéronautiques.
  • Veso Concept aura pour but de développer et de caractériser un éco-composite qui répond à toutes les contraintes aéronautiques.
  • Et KES (Kreative Engineering Services) matérialisera les différentes pièces du meuble et procédera à son assemblage.

À suivre….

Source : site www.cobratex.com

21Mai 2014

photo 2

 

POURQUOI LE BAMBOU EST-IL UNE « RESSOURCE ÉCOLOGIQUE » ?

Grâce à ses qualités intrinsèques, le bambou se révèle être :

  • Une ressource inépuisableAprès avoir atteint sa maturité, le bambou peut être coupé tous les 2 ans pendant 120 ans, pour certaines espèces, et indéfiniment pour d’autres ! Comme il appartient à la famille des herbacées, il n’a pas besoin d’être replanté, il se renouvelle naturellement.
  • Un purificateur d’airIl peut fixer 30% de plus de CO2 que les arbres feuillus, il restitue donc plus d’oxygène que les arbres à feuilles caduques.  Si on compare une forêt de feuillus à une bambouseraie, cette dernière fixera jusqu’à 12 tonnes de CO2/ha/an, contre 3 tonnes pour la forêt de feuillus. Il libère donc 30% d’oxygène de plus que des arbres.
  • Un rempart contre l’érosionGrâce au réseau souterrain de ses racines et de ses rhizomes, le bambou maintient 6 m³ de sol ! Il arrive que certaines espèces s’étalent sur 1000 m².
  • Une source d’énergie remarquable, naturelle et non polluante.Il peut fournir jusqu’à 40 tonnes par hectare et par an de biomasse, soit 6 fois plus qu’une forêt classique. En outre, il se développe sans engrais ni pesticide.

Dès lors, face aux besoins croissants de l’industrie forestière, le bambou semble fournir une ressource quasi inépuisable, de même que les peupliers et eucalyptus. Toutefois, par rapport à ces arbres à croissance rapide, le bambou constitue la seule alternative au bois 100% soutenable, 100% naturel, 100% écologique, notamment grâce à son renouvellement naturel.

21Mai 2014

LES 1001 UTILISATIONS DU BAMBOU

Symbole de joie et de sérénité en Chine, considéré comme le « frère de l’homme » au Japon, le bambou a tissé depuis des millénaires des liens quotidiens et vitaux avec plus de la moitié de l’humanité. Et depuis une dizaine d’années, il ne cesse de multiplier ses usages à travers la planète.

MAISONS ET ÉCHAFAUDAGES EN BAMBOU

En Orient, le chaume de bambou (tiges) est incontournable dans la construction de l’habitat traditionnel : tuiles, maison sur pilotis, grenier à riz, structure,  …  C’est notamment un matériau de premier choix pour la construction de logements situés dans des zones à risque (tremblement de terre, ouragan). Il faut savoir qu’une bambouseraie de 70 ha permet la construction de 1000 maisons par an.

usage bÉchafaudages en bambou

Au niveau de l’architecture contemporaine, sa résistance et sa légèreté en ont fait le matériau idéal pour les échafaudages de gratte-ciel. Parmi les dix bâtiments les plus hauts du monde, ceux du two international Finance Center (416 m) de Shangai, le Shun Hing Chine, ont notamment utlisé le bambou dans leurs échafaudages…

 

 

Usage du bambouBouilli, moulu, grillé … le bambou se met à toutes les sauces

Mais oui, le bambou se mange aussi … du moins ses turions, c’est-à-dire les jeunes pousses. Celles-ci sont cueillis, un peu comme des asperges, dès qu’elles commencent à sortir de terre. Bien que toutes les espèces soient comestibles, certaines sont assez amères, et en tout cas ne se mangent pas crues ! On les fait bouillir ou griller dans leur enveloppe, que l’on enlève ensuite, avant d’émincer le coeur des pousses pour les préparer en salade, en friture ou en sauce. Les pousses de certaine espèces (Sasa) peuvent être grillées au four et dégustées directement.

D’autres usages du bambou dans le domaine alimentaire sont connus :

  • Certains bambous sont utilisés en phytothérapie
  • Les graines peuvent être moulues pour fournir une farine nutritive
  • Certaines espèces peuvent être cultivées sous forme de pâturages pour le bétail
  • Les feuilles de bambou constituent l’aliment exclusif des pandas.

TOUT SIMPLEMENT AU NATUREL…DANS LE JARDIN !

Les bambous sont recherchés comme plantes décoratives pour leur feuillage, qui peut être vert ou panaché de blanc ou de jaune, pour leurs tiges, les chaumes, particulièrement ceux des Phyllostachys, dont les couleurs sont variées : vert, noir, jaune, tacheté, rayé, etc., et pour leur port, de la plante tapissante au bambou de grande taille. Ils sont souvent utilisés en touffes au bord des pièces d’eau ou en haies. On peut aussi en faire des bonsaïs, notamment l’espèce Phyllostachys humilis. Les passionnés pourront observer de nombreuses espèces de bambous à la Bambouseraie de Prafrance dans le Gard(France).

UNE CONQUÊTE RÉCENTE : LE SECTEUR DU TEXTILE

Ces usages « traditionnels » sont largement complétés par des produits innovants qui intègrent dans leur fabrication des fibres ou du chaume de bambou : coques de téléphones portables ou d’ordinateurs, vaisselle, lingettes démaquillantes … Par exemple, le bambou s’invite  aujourd’hui dans le marché du textile. Ses pousses robustes sont transformées en un tissu soyeux hautement absorbant et antibactérien, ou parfumé par adjonction d’additifs. En 2004, la Chine – premier producteur mondial de bambous – a exporté pour l’équivalent d’un million de dollars de bambous destinés au secteur du textile. En 2006, ce montant a été multiplié par dix !

 

Bambou 2Le mobilier et les revêtements de sol en bambou gagnent également des parts de marché, grâce notamment à l’amélioration de la conception et du design. Qu’on l’utilise pour son goût ou sa résistance, qu’on le préfère sous forme de meuble ou de parquet … le bambou intègre un peu de « zénitude » dans notre quotidien !

21Mai 2014

photo 7

 

BAMBOU, L’HERBE D’ACIER !

Originaire d’Asie, le bambou est une herbe géante apparue il y a 200 millions d’années, à l’époque des dinosaures … Fantaisiste ou non, l’étymologie de son nom est pour le moins poétique. D’origine malaise, sa dénomination serait liée à ses propriétés physiques : en cas de combustion, l’air présent dans les cannes chauffe, se dilate et cause l’explosion des entre noeuds avec bruit similaire à  » BAM ! « . Ensuite, en s’échappant, l’air souffle  » bouhhh « .

D’UN POINT DE VUE BOTANIQUE

A la fois flexible et résistant, le bambou appartient à la famille des graminées ( tout comme le maïs, le riz, les céréales…), plus spécifiquement les graminées à tige ligneuse appelées Poacées. Dans le monde , on recense environ 2300 espèces de bambou appartenant à 75 genres.

Peu exigeant, il manifeste des grandes qualités d’adaptation environnementale. IL peut se développer sur une vaste gamme de sols, qu’ils soient pauvres en matières organiques ou riches en minéraux. Pour grandir, il nécessite ensoleillement et humidité, mais supporte néanmoins des conditions d’humidité très diverses ( inondations, moussons, etc).

Dès lors, son aire de répartition est vaste : il pousse aujourd’hui de manière sauvage dans les zones tropicales, sub-tropicales, et tempérées de toutes les régions du monde, à l’exception de l’Europe et de l’Asie occidentale. Et il ne craint pas l’altitude puisqu’on le retrouve jusqu’à 3000 mètres d’altitude dans les forêts tropicales !

DES USAGES QUI SE DÉCLINENT À L’INFINI… OU PRESQUE

Cette  » simple » herbe a de quoi faire pâlir de jalousie nos chênes et hêtres ! Souple, résistant à la traction, dure, écologique, renouvelable rapidement, se travaillant facilement, le bambou est utilisé en Chine et en Asie depuis des millénaires.
De l’alimentaire à la construction, en passant par le textile et le mobilier, le bambou a aujourd’hui plus de 1500 utilisations connues. A tel point que les économistes estiment que la moitié des habitants de la planète bénéficie d’une part des recettes générées par l’exploitation commerciales du bambou, ou tout simplement de son utilisation en tant qu’aliment.

UNE HERBE QUI POUSSE PLUS VITE QUE SON OMBRE !

Outre cette polyvalence d’usages, le bambou possède un avantage redoutable pour une exploitation commerciale : sa croissance rapide. En moyenne , il pousse de 75 à 400 mm par jour , mais certaines espèces atteignent le record de … un mètre (Phyllostachys edulis au Japon). Dès lors, la tige de bambou peut atteindre 40 mètres en 3 ou 4 mois, et arrive à maturité en 4 ou 5 ans. Ensuite, l’exploitation commerciale de ces espèces peut commencer au rythme d’une récolte tous les 2 ans, parfois jusqu’à l’âge respectable de 120 ans. On estime que sur cette durée, le bambou pourra fournir jusqu’à 45 kilomètres de perche utile ( commercialement parlant).

Associées à ses étonnantes propriétés physiques, ces qualités en font une veritable ressource renouvelable, et donc un matériau d’avenir … à condition que cette exploitation reste raisonnable !

21Mai 2014

Depuis 2009, de la récolte à la distribution, nous agissons directement sur la fabrication et la qualité de nos parquets et terrasses. Nos produits, fabriqués à partir de bambou rapidement renouvelable, offrent une belle alternative aux bois traditionnels et précieux de la forêt primaire.

DURABLE

Respectueux de l’environnement, nous contribuons à la réduction des pollutions qui conduisent au changement climatique. Nos parquets et terrasses en bambou sont certifiés neutres en émission de CO2.

RENOUVELABLE

Le bambou est une graminée dont la croissance est la plus rapide au monde, il peut atteindre 40 mètres en seulement 3 à 4 mois. La récolte ne commence une fois sa maturité atteinte, soit entre 5 et 6 ans. Certains bambous produisent jusqu’à 120 ans, ce qui permet de récolter 45 kilomètres de cannes. Sa capacité à se régénérer seul en fait une ressource naturelle inépuisable.

DURETÉ & RÉSISTANCE

Le bambou est 30% plus dur que le chêne, cette matière naturelle très résistante trouve naturellement sa place dans toutes les pièces d’habitation et dans les commerces, quelles que soient les conditions d’utilisation. Le bambou offre une résistance à la traction supérieure aux autres fibres telles que le bois ou l’acier.

STABILITÉ

Le bambou a un indice très bas de contraction et de dilatation, ce qui lui donne une très grande stabilité (50% supérieure à celle du chêne).

SAIN

En tant que produits naturels, les parquets Ecoligne BAMBOU sont antistatiques et anti allergéniques.

BEAUTÉ NATURELLE

Inspirés par la nature, les parquets et terrasses Ecoligne BAMBOU ne répondent pas simplement à un choix écologique mais aussi à un style, à une esthétique séduisante qui magnifie votre environnement intérieur ou extérieur. Une beauté naturelle qui s’intégre parfaitement aux différentes ambiances décoratives.

QUALITÉ GARANTIE

Les parquets & terrasses Ecoligne BAMBOU sont de grande qualité, ils sont garantis 10 ans.

21Juin 2012


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COMMENT LA CANNE DE BAMBOU DEVIENT-ELLE PARQUET ?

Bien qu’appartenant à la famille des graminées, le bambou n’en possède pas moins toutes les caractéristiques d’un arbre :

  • Des racines : pour le bambou elles s’appellent «rhizomes»
  • Un tronc : tige ou canne pour le bambou
  • Des branches et un feuillage : appelé «chaume», il s’agit de l’ensemble des tiges aériennes et des feuilles du bambou.

Grâce à sa croissance particulière et à la structure spécifique de ses cellules, les propriétés du bambou sont très semblables, et même supérieures, à celles des bois durs. D’où son utilisation pour la construction et pour les parquets.

QUAND LE CHAUME DEVIENT PARQUET DE BAMBOU

C’est la partie « chaume » du bambou qui est utilisée pour fabriquer les lames de parquet. Le processus de fabrication comprend plusieurs opérations dont la première consiste à transformer la tige récoltée en lattes, en la sciant dans le sens longitudinal (sens des fibres). Ces lames sont ensuite traitées pour prévenir les attaques de champignons et d’insectes, et éventuellement « carbonisées », ce qui leur confère une couleur plus foncée, voire brune.

Indispensable, l’étape suivante du séchage permet de faire baisser le taux d’humidité, pour éviter ainsi tout « mouvement » du bambou après la pose.

Enfin, la dernière grande opération consiste à assembler les lames et à les coller à haute température et haute pression, soit face-à-face (plainpressed), soit en chant-à-chant (sidepressed).

04Avr 2010

quelques-chiffres-sur-le-bambou

 

Quelques chiffres intéressants ou étonnants sur le bambou :

  • Plus de 2 milliards de terriens l’utilisent quotidiennement (nourriture, construction, artisanat, etc)
  • 1 milliard de personnes vivent dans une maison en bambou (mais ce n’est pas vraiment de ce côté de la planète … pas encore en tout cas !)
  • 1 mètre par jour : c’est la vitesse de croissance de certains types de bambou
  • Env. 30 % plus dur que le chêne, bien qu’il soit répertorié comme une « herbe » ou graminée
  • 8 fois plus résistant à la traction que le bois, d’où son joli surnom d’ « herbe d’acier »
  • 1300 espèces différentes de bambou, et à travers tous les continents

Et on termine sur une note poétique : certaines espèces ne connaîtraient qu’une floraison tous les 100 ans … De quoi laisser rêveur non ?

31Mar 2010

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Vous savez déjà que le bambou est 100% écologique. Mais il possède bien d’autres qualités qui en font un parquet (presque !) idéal. Par exemple, savez-vous que :

  • Le bambou est 27% plus dur que le chêne ?
  • Le bambou offre une résistance à la traction de 40kp/mm² ? Ce qui en soi n’évoque pas grand-chose, mais c’est supérieur aux autres fibres telles que le bois (5kp/mm²) ou même l’acier qui s’emploie dans la construction (37kp/mm²).

De quoi justifier largement le surnom du bambou : « herbe d’acier » ! Ce surnom est également lié à ses incroyables propriétés naturelles : il plie, mais ne se rompt jamais. En Asie, c’est un matériau omniprésent dans le bâtiment et la construction.

Et plus fort encore (il n’en finit pas de nous épater ce bambou !) : il a un indice très bas de contraction et de dilatation à la chaleur. Ce qui lui donne une très grande stabilité … 50% supérieure à celle du chêne !

Dès lors, en Occident, le parquet en bambou est conseillé pour sa dureté et sa résistance, particulièrement lorsqu’il s’agit de couvrir des sols à usage intensif comme les boutiques, salles de sport, les salles de danse, ou autres lieux soumis à des passages fréquents.

Et pour votre séjour, cela vous dit un parquet en « herbe d’acier » ?

29Mar 2010

Encore un produit à base de bambou : les lingettes démaquillantes … réutilisables ! Mesdames, Mesdemoiselles, soyez écolo et économe. Pour éviter de dépenser jusqu’à 150 euros par an en lingettes, adoptez les lingettes en viscose de bambou, réutilisables et 100% biodégradables.

>> Plus d’infos sur le blog Cosma Terra

29Mar 2010

la-bambou-attitude-debarque

Dès 2004, le bambou a fait une entrée discrète sur le marché occidental pour des usages parfois surprenants ! Par exemple,Aesus, fabricant d’ordinateurs, propose un PC dont la coque, le pavé tactile et le repose-poignet sont réalisés en bambou : nom de code : U6V Bambou.

Au quotidien, c’est la vaisselle qui a adopté la tendance bambou : saladiers, plats, assiettes en bambou lasuré, ont séduit des enseignes telles qu’Ikea ou Habitat. Une vaisselle écolo et incassable, c’est un peu la révolution à la maison !

Effet de mode ou tendance de fond, l’avenir nous le dira. Mais en tout cas dans le domaine de la construction, le bambou multiplie ses utilisations en Occident : du parquet au store, en passant par la structure ou même la maison complète en bambou comme sur Bambou Habitat.

C’est indéniable, grâce à ses qualités intrinsèques et écologiques,  le matériau bambou constitue une alternative très attractive aux matériaux traditionnels, comme dans le cas du parquet bambou.

Affaire à suivre donc …

 

 

21Mar 2010

 

foret bambou

 

Quand on vous dit que le bambou est un matériau 100% écologique, ce n’est pas une blague !

Si vous n’êtes pas encore devenu un adepte du parquet en bambou, voici 3 arguments écologiques qui peuvent vous faire réfléchir :

  • L’utilisation du bambou contribue à la lutte contre la déforestation
    Tout simplement pour 2 raisons : le bambou se récolte tous les 5 ans, alors qu’un arbre d’une essence traditionnelle se récolte entre 10 et 100 ans. Et en outre, il se régénère seul sans devoir être replanté. Donc, en choisissant un parquet en bambou, vous contribuez de manière indirecte à une gestion forestière saine et soutenue.
  • Les pandas conservent leur source de nourriture
    Grands consommateurs de bambous, les pandas ne sont pas menacés par l’exploitation des parquets en bambou vendus par Ecoligne-Bambou. En effet, la variété de bambou utilisée pour fabriquer nos parquets n’est pas celle dont ils se nourrissent : ils préfèrent une autre variété de taille plus basse.
  • Les émissions de formaldéhyde de nos produits sont en dessous des seuils exigés par les normes européennes les plus strictes.
    Le formaldéhyde est un gaz incolore qui est émis principalement par les produits ménagers et tous matériaux de construction. A titre d’exemple, les colles, les vernis, le bois, certains chauffages, les ordinateurs, les matériaux isolants, les revêtements de sol… émettent des formaldéhydes.Afin de lutter contre les effets nocifs de ce gaz, des normes ont été mises en place afin de protéger les utilisateurs. La norme la plus stricte à ce jour est la norme E1 qui correspond à 120 microgrammes par mètre cube dans une pièce.

 

Attention : tous les bambous ne sont pas exploités selon les mêmes normes que celles de Ecoligne Bambou. Nous garantissons une exploitation écologique pour nos parquets uniquement.

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